Résultats de recherche pour : Musée
Rumeurs dans le Quartier-du-Musée
Ouverture du Musée de l’Auberge Symmes pour la saison estivale avec une nouvelle exposition temporaire
Réouverture du musée de l’Auberge Symmes
Conférence au Musée de l’Auberge Symmes
À la découverte du site du patrimoine du Quartier-du-Musée NOUVEAUTÉ!
À la découverte du site du patrimoine du Quartier-du-Musée NOUVEAUTÉ!
Les beaux dimanches au Musée : contes et légendes
Le Quartier du Musée
Lancement de la saison 2017 du Musée de l’Auberge Symmes
Horaire de la saison estivale – Musée de l’Auberge Symmes
Horaire de la saison estivale – Musée des pionniers
Ancienne gare de Shawville/Musée historique du Pontiac
À la fin des années 1800, on construit le chemin de fer Pontiac Pacific Junction Railway pour remplacer le transport sur la rivière des marchandises et des passagers allant et venant du Pontiac. La gare de Shawville sera bâtie vers 1887 et verra marchandises et passagers y transiter pendant 80 ans.
Musée de la Culbute
Situé dans le village de Chichester, le petit Musée de la Culbute doit son nom aux rapides du même nom sur la rivière des Outaouais. Ouvert pendant la période estivale de juillet à septembre, il présente l’histoire du village de Chichester et de ses familles locales ainsi que celle de l’Isle-aux-Allumettes.
Horaire d’ouverture : de juillet à septembre
Musée des pionniers
Le Musée des pionniers de Saint-André-Avellin expose des centaines d’objets illustrant le mode de vie et les traditions des pionniers du XIXe siècle. On peut y admirer des meubles et des ustensiles de cuisine, des outils de travail, des vêtements et des bijoux. Ses collections comptent plus de 600 photographies anciennes, des romans du XIXe siècle, des collections de manuels scolaires, des coupures de vieux journaux et des écrits sur la vie des pionniers. Une remise expose de nombreuses machines aratoires anciennes. Il est ouvert au public pendant la période estivale.
Musée canadien de l’histoire
Inauguré en 1989, le complexe muséal du Musée canadien de l’histoire (MCH) a été conçu par l’architecte autochtone Douglas Cardinal. Ses formes courbes et ses lignes ondulées évoquent les paysages canadiens.
Ode à la rivière de Outaouais : cinéma en plein air
Ode à la rivière de Outaouais : théâtre interactif et jeu d’évasion
Atelier d’artisanat autochtone
Conférence – L’histoire des noirs au Québec : 400 ans d’histoire
Fête du patrimoine 2020
Atelier d’artisanat autochtone – Ornements de Noël
Sur les traces des bâtisseurs: visite guidée du Vieux-Village d’Aylmer
Sur les traces des bâtisseurs: visite guidée du Vieux-Village d’Aylmer
Exposition – L’Auberge Symmes : fenêtres sur l’Outaouais
TUXEDO KID ou LA BEAUTÉ DU DIABLE
Voleur de moutons, coureur de jupons, avorteur amateur, voleur de banque, assassin… Il est beau, il a du charisme, de la chance et est un excellent musicien. Les femmes l’adorent et les journalistes l’on surnommée Tuxedo Kid. Un psychopathe qui sévi de 1930 à 1950 tant en Montérégie qu’en Outaouais. Une des affaires criminelles les … Continuer la lecture de « TUXEDO KID ou LA BEAUTÉ DU DIABLE »
Le clergé et les allumettières, un long parcours jusqu’à la grève de 1924
Les droits des femmes au Québec : Les leçons de l’histoire
1919-2019 : CENT ANS DE LUTTE ET DE SOLIDARITÉ (CSN)
Le CRAO en tournée à Aylmer
Église de Saint-Fidèle
L’église de Saint-Fidèle de Fassett fut érigée en 1918 par les entrepreneurs Lalonde et Lépine de Saint-André-d’Argenteuil selon les plans de l’architecte Charles Brodeur de Hull. L’église actuelle a été construite sur le site d’une chapelle-école qui se trouvait sur place depuis 1909. Au fil des ans, l’église a subi plusieurs modifications.
Pontiac : un héros amérindien, oublié par l’Histoire
Présentation du film « Hochelaga, terre des âmes »
Brasser des affaires à Aylmer… La période de 1840 à 1930
Les Belles soirées du CRAO : l’histoire de la ceinture fléchée
L’oeuvre monumentale « Les Dompteurs d’écueils » en exposition
Exposition Chapeau!
Passerelle piétonne au-dessus de la rivière
Le village de Saint-André-Avellin s’est doté d’un circuit patrimonial géré par la Société historique du village qui commence au musée des Pionniers. Cette même société a construit une passerelle d’une longueur de 40 mètres qui permet de franchir à pied sec la rivière de la Petite Nation.
Les chantiers de l’Outaouais : creuset de la culture québécoise
Trousse : Se défendre
Le Vieux-Hull et le quartier Laurier
Activité de consultation publique
Brasserie de l’Île
La Brasserie de l’Île, populaire taverne construite aux environs de 1905, a d’abord porté le nom d’hôtel Alberta. Située au rez-de-chaussée d’une bâtisse de briques de trois étages, elle a conservé des ouvertures garnies de blocs de verre typiques des débits de boisson des années 1930 à 1970.
La Maison Charron et son histoire
L’Hôtel British, un défi de restauration !
Rendez-vous des arts et du patrimoine de l’Outaouais
L’Hôtel British, un défi de restauration !
La Confédération de 1867 : un beau rêve politique ou une simple opération de sauvetage financier ?
UNE PAGE CACHÉE DE NOTRE HISTOIRE : L’ESCLAVAGISME AU QUÉBEC (1609 – 1834)
Société d’histoire de Buckingham
La Société d’histoire de Buckingham (SHB) est un organisme à but non lucratif qui a pour mission de conserver, préserver et mettre en valeur le patrimoine oral, écrit et bâti de l’ancienne ville de Buckingham et de la région de la Lièvre. La Société d’histoire de Buckingham veille à la conservation, à la mise en valeur et à l’archivage des documents (écrits, administratifs, photographiques, etc.) concernant la région et les met à la disposition du public. Elle gère un petit musée situé à la même adresse.
Ancien Moulin Maclaren
En 1838, l’immigrant écossais et maçon William Fairbairn construit un premier moulin à farine qui sera racheté six ans plus tard par les frères Maclaren. Ceux-ci vont y ajouter une scierie, un moulin à carder et divers autres bâtiments et résidences. Les fermiers de toute la région viennent y faire moudre leur grain à pied, à cheval ou en voiture à cheval.
Domaine Mackenzie King
Le domaine Mackenzie-King, qui fait aujourd’hui partie du parc de la Gatineau, est un domaine champêtre de 231 hectares ayant appartenu à William Lyon Mackenzie King, homme politique et dixième premier ministre du Canada. Entre 1903 et 1950, celui-ci travaillera à édifier des bâtiments et à embellir sa propriété qui comprend des jardins et des ruines. Il a légué son domaine aux Canadiens à sa mort en 1950.
Centre culturel Kitigan Zibi Anishinabeg
Le bâtiment rond du centre culturel de Kitigan Zibi, sur la réserve anishinabe, présente expositions et artefacts en lien avec la culture et l’histoire de la communauté algonquine. On peut visiter l’exposition permanente Kichi Sibi montée par le Musée canadien de l’histoire de Gatineau. Le centre culturel offre aussi divers ateliers de démonstration d’artisanat ou de récolte d’herbes ou de cuisine en plein air à ses visiteurs, ainsi que des ateliers de sensibilisation à la culture autochtone sur des aspects historiques, culturels et contemporains de la communauté anishinabe. Il est recommandé de s’informer à l’avance sur les ateliers offerts pour s’y inscrire.
Maison Bryson
Faisant face à la rivière Coulonge, la grande maison de la ferme de George Bryson a été terminée vers 1854. De style géorgien, la maison en bois est de forme rectangulaire et compte deux étages, un toit à quatre versants surmonté d’un campanile avec un belvédère à rambarde et une longue galerie couverte courant sur trois façades. Sur le site, plusieurs autres bâtiments ont été conservés : de longues dépendances en bois organisées autour d’une cour intérieure et la maison en pierre du comptable.
Ancienne gare de Montebello
Construite en 1931 avec les surplus de billes de cèdre rouge du château Montebello, la gare de Montebello s’inspire également de son style chalet suisse. Le bois destiné à la construction du château est arrivé à la Petite-Nation depuis la Colombie-Britannique par trains entiers du Canadien Pacifique.
Sources
Les sources suivantes ont été consultées lors de la rédaction du contenu de ce site : Monographies ALDRED, Diane. Aylmer, Québec: Its Heritage = Aylmer, Québec : son patrimoine, Aylmer, Aylmer Heritage Association = Association du patrimoine d’Aylmer, 1989, viii, 228 p. ALDRED, Diane. The Aylmer Road: An Illustrated History = Le chemin d’Aylmer : une histoire illustrée, Aylmer, Aylmer Heritage … Continuer la lecture de « Sources »
Avenue de Buckingham
Située sur la rive est de la rivière du Lièvre, l’avenue de Buckingham compte de nombreux bâtiments patrimoniaux ainsi que quelques panneaux d’interprétation. Ainsi, la maison néogothique Thomson-Kenny bâtie en 1853, l’église et le presbytère St. Andrew United datant de la toute fin du XIXe siècle ou encore la maison des médecins, une maison à deux pignons ornée de vitraux dans laquelle plusieurs médecins se sont succédé depuis 1922, sans oublier la bâtisse qui a abrité les presses du Buckingham Post jusqu’en 1964.
Édifice du Vieux-Marché de Buckingham
Construit en 1903 et rebâti à deux reprises, l’édifice du Vieux-Marché de Buckingham a abrité divers commerces et été un lieu de rassemblement populaire. Il a été le point de départ d’un grand nombre de défilés, carnavals et cortèges et des réunions politiques mémorables s’y sont tenues. Il abrite aujourd’hui la Société d’histoire de Buckingham, le Musée de Buckingham et le centre d’information touristique gérés par la Société d’histoire de Buckingham.
Auberge Symmes
Située sur les berges du lac Deschênes et de la rivière des Outaouais, l’auberge Symmes a été construite en 1831 pour Charles Symmes, fondateur d’Aylmer et neveu de Philemon Wright, fondateur de Hull et arrivé en 1900. Il était destiné au logement de voyageurs en provenance de Montréal qui devaient débarquer à Wrightstown, aujourd’hui Hull, en raison de l’infranchissable chute des Chaudières. Ils prenaient alors la diligence et empruntaient le chemin historique d’Aylmer jusqu’à l’auberge Symmes pour y passer la nuit.
Château d’eau de Hull
Le château d’eau est un édifice municipal construit entre 1902 et 1905 qui sera agrandi en 1910. Le bâtiment en pierre se compose de deux ailes rectangulaires en L, coiffés d’un toit à deux versants droits à faible pente. L’édifice comprend trois niveaux, dont deux sont partiellement souterrains.
Pontiac
C’est dans le Comté du Pontiac que l’on retrouve certaines des plus anciennes traces d’occupation humaine. Des fouilles sur les îles aux Allumettes et Morrison ont montré des traces d’occupation autochtone datant d’environ 6 000 ans av. J.-C. La rivière des Outaouais permettait les échanges et les déplacements entre peuples amérindiens. Avec l’arrivée des premiers Européens, le commerce de la fourrure prend le pas sur les autres échanges commerciaux avant de céder, quelques siècles plus tard, sa place à la drave. À partir de 1820, les rives de la rivière vont être peu à peu aménagées en fonction des besoins des communautés naissantes. On retrouve la plupart des petites villes de ce comté agricole et forestier le long de la rivière des Outaouais, frontière naturelle entre l’Ontario et le Québec. Des colons de toutes origines s’y installent peu à peu, venus des îles britanniques, mais aussi Canadiens français, puis Polonais et Allemands, qui se voient distribuer des terres plus ou moins fertiles… Au XIXe siècle, le Pontiac est un pays de bûcherons et d’agriculteurs. À la fin du XIXe siècle, la diminution des activités forestières conjuguée aux transformations agricoles qui nécessitent de grandes surfaces précipite l’exode rural.
Papineau
Lorsqu’en 1613, Samuel de Champlain remonte la rivière des Outaouais vers l’île aux Allumettes, il note une autre rivière, « fort belle et spacieuse », la rivière de la Petite Nation. Elle doit son nom aux Weskarinis, qu’on appelle aussi la Petite Nation des Algonquins, qui vivaient de chasse, de pêche et de cueillette et qui se rassemblaient l’été à l’embouchure de la rivière. Entre 1630 et 1650, les attaques répétées des Iroquois contre les populations algonquiennes vont pousser les Weskarinis à chercher refuge auprès des Français et à déserter les rives de l’Outaouais et de ses affluents en 1649. Tout au long des XVIIIe et XIXe siècles, des familles d’Algonquins et d’Iroquois reviennent sur le territoire des Weskarinis au moment où la rivière des Outaouais devient l’artère principale du commerce de la fourrure. Des postes de traite seront notamment établis à l’embouchure des rivières de la Petite Nation et du Lièvre.
Collines-de-l’Outaouais
Au nord de Gatineau, les collines de l’Outaouais ont vu arriver les premiers colons anglophones dès les années 1830. Activités agricoles et exploitation forestière vont baisser en intensité au XXe siècle pour accueillir les premiers vacanciers et amateurs de plein air venus en train. La vocation touristique de la région ne s’atténuera pas avec la création du parc de la Gatineau dans les années 1930-1950. On peut aujourd’hui découvrir fermes et églises au détour d’un rang ou au bord d’un lac, ou encore marcher dans les pas des vacanciers du siècle précédent pour apprécier les établissements touristiques centenaires et les maisons bourgeoises dans une nature exceptionnelle.
Buckingham
C’est au début du XIXe siècle que les premiers colons s’installent dans ce qui est alors le canton de Buckingham. Les scieries sont les premières industries à voir le jour sur les rives de la rivière du Lièvre, suivies quelques décennies plus tard par les mines. La famille Maclaren sera l’un des plus importants employeurs de Buckingham, établissant son empire dans le commerce du bois. On retrouve de nombreuses traces de l’héritage anglophone et francophone de Buckingham et de son passé industriel en se promenant dans son centre-ville.
Aylmer
Colonisé dès le début du XVIIe siècle, ce qui est aujourd’hui le secteur d’Aylmer de la grande ville de Gatineau sera longtemps en concurrence avec l’autre pôle de colonisation et d’industrialisation de la région, le secteur de Hull. Une première route, le chemin d’Aylmer, reliera très tôt les deux centres, mais Aylmer devra surtout son expansion au service de vapeurs qui naviguent sur la rivière. Si la ville n’est jamais devenue un grand centre industriel, son passé prospère lui a néanmoins légué un centre-ville d’une grande richesse patrimoniale.
Répertoire
Ce répertoire liste les principaux sites d’intérêt patrimonial de la région de l’Outaouais, ainsi que les musées, centres d’interprétation et organismes patrimoniaux, sociétés d’histoire et d’archives locales, qui travaillent à la protection, à la préservation, à la mise en valeur et au rayonnement de ce patrimoine.
Draveurs et ouvriers
Les premiers agriculteurs de la région vont devoir bûcher l’hiver pour survivre et l’exploitation forestière sera bientôt la première industrie en Outaouais avec ses camps de bûcherons et ses draveurs qui font franchir aux billes de bois des centaines de kilomètres de rivières, de chutes et de lacs. Dans les villes, les scieries et les usines de pâtes et papiers vont transformer cette matière première, employer des milliers d’ouvriers et d’ouvrières et contribuer à l’édification de fortunes énormes. On retrouve les traces de cette histoire industrielle depuis les quartiers ouvriers de Hull jusqu’aux anciennes installations le long des rivières. De nombreux circuits patrimoniaux à travers la région permettent d’appréhender les difficultés de la drave ou de la vie des ouvriers d’alors.
Présence autochtone
Les premières traces d’occupation humaine dans la vallée de l’Outaouais remontent à environ 6 000 ans. Lorsque les premiers explorateurs s’aventurent sur ce vaste territoire, l’Outaouais est le royaume des Algonquins. L’été leur permet de se réunir en grands groupes sociaux et de pratiquer la chasse, la pêche et la cueillette avant de se disperser en groupes familiaux à l’automne pour remonter les rivières vers leurs terrains de chasse hivernaux. La région compte plusieurs lieux historiques de la présence autochtone, dont deux sites rupestres importants, mais aussi des lieux de vie comme la réserve algonquine de Kitigan Zibi à Maniwaki, dont le centre culturel offre aux visiteurs ateliers et démonstrations portant sur la culture et l’histoire algonquine régionale.