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Visite guidée – Cimetière patrimonial Barber

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Église et cimetière Saint-John-in-the-Wilderness

En 1899, Julienne Lonsdale vend un terrain à l’évêque William Bennet Bond (1815-1906) afin de permettre aux autorités du diocèse anglican de Montréal de faire construire un lieu de culte desservant la communauté de Glen Almond située dans le nord-ouest du canton de Buckingham. Les travaux commencent la même année et l’église anglicane St. John in the Wilderness est ouverte au culte en 1902.

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Cimetière du village/St. Paul

Le cimetière anglican du village est situé en face de l’église St. Paul, la plus ancienne de Shawville. Encore utilisé, il abrite des sépultures anciennes et récentes sur un terrain en pente douce.

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Cimetière des pionniers de Buckingham

En 1836, la famille O’Neil fait don de dix acres de terrain pour la construction d’une église, d’un presbytère et d’un cimetière. Plus de 670 des pionniers francophones et anglophones y seront enterrés entre 1836 et 1879, date à laquelle le cimetière, considéré saturé, sera fermé.

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Journées de la Culture : Visite du cimetière Notre-Dame de Gatineau

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Cimetière protestant d’Old Chelsea

Le cimetière protestant d’Old Chelsea est un des cimetières les plus anciens de l’Outaouais. Il a vraisemblablement été aménagé dans les années 1830 sur une partie d’un terrain acquis en 1835 par Thomas Brigham (1787-1842), l’un des premiers habitants de Chelsea. Le site accueille les dépouilles des habitants de foi réformée.

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Cimetière des pionniers

Situé sur une petite colline, le cimetière des Pionniers de Chelsea aurait été aménagé dès 1837. Il était à l’origine le lieu d’inhumation familial de la famille Church. Le cimetière compte quatorze monuments funéraires dont le plus ancien date de 1837, ainsi qu’un cénotaphe à la mémoire des citoyens de Chelsea morts lors des Première et Deuxième Guerres mondiales. Il a pris le nom de « cimetière des Pionniers de Chelsea » en 1989 et il fait partie de l’Inventaire du patrimoine bâti de la région de l’Outaouais depuis 2010.

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Cimetière Notre-Dame-de-Bonsecours

Le cimetière Notre-Dame-de-Bonsecours est inauguré en 1861 sur un terrain acheté au seigneur Papineau pour remplacer l’ancien cimetière situé à côté de l’église. Lieu de sépulture catholique, il compte des statues en bois sculptées par Louis Jobin, sculpteur renommé pour sa statuaire religieuse. Le calvaire qui date de 1907 ainsi que la statue L’éducation et la vierge réalisée en 1914 peuvent être admirées au fond du cimetière. On retrouve également dans ce cimetière le caveau funéraire de la famille Bourassa conçu par Napoléon Bourassa, architecte d’églises et gendre de Louis-Joseph Papineau. Plusieurs membres par alliance de la famille Papineau y reposent. Le cimetière est cité site patrimonial.

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Église et cimetière St. Columban

La petite église Saint-Columban rappelle la vocation agricole des terres de Templeton-Ouest au XIXe siècle. De style géorgien, elle a été érigée en 1899 par les colons irlandais installés trop loin de Pointe-Papineau pour aller y entendre des messes. Le petit cimetière adjacent abrite les tombes des pionniers d’origine catholique et irlandaise de cette région rurale. L’église Saint-Columban a été inventoriée en 2004.

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Cimetière Saint-James

Aménagé en 1820, le cimetière St-James est considéré comme l’un des plus anciens cimetières de l’Outaouais. Ce lieu de sépulture doit son nom à l’ancienne paroisse anglicane St. James, dont l’église, aujourd’hui désacralisée, est située sur la promenade du Portage.

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Maison du gardien du cimetière Notre-Dame

Une quarantaine d’années après l’ouverture du cimetière Notre-Dame, une maison de style Queen Anne est construite en 1915 pour le gardien du cimetière et sa famille. Ses premiers occupants en seront Ovide Lemieux puis son fils Joseph, gardiens du cimetière jusqu’en 1942.

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Cimetière Notre-Dame

Vers 1864, Le père Reboul achète un lot de terrains pour construire le cimetière Notre-Dame non loin du Lac Leamy. Le cimetière est aménagé en 1872. Un presbytère est bâti sur le site, mais il brûlera dans l’incendie du quartier, en juin 1888.

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À la recherche du fantôme de Louis-Joseph Papineau

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Annulé – Conférence : Le rôle d’évaluation municipale, un outil méconnu

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Poste de traite du Lac-aux-Allumettes

Les postes de traite sont des lieux de rencontre et d’échange commercial qui revêtent une grande importance pour les Premières Nations. La Compagnie de la baie d’Hudson aménage, en 1828, un poste de traite au lac aux Allumettes et est surtout fréquenté par les Autochtones.

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À la découverte de l’histoire du Vieux-Gatineau

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Hameau de Martindale

Le hameau de Martindale, dans la municipalité de Low, est traversé du chemin du même nom. Ce petit chemin bucolique qui serpente dans la vallée passe devant de nombreuses bâtisses anciennes, cimetières et peut-être même la première église catholique de tout le diocèse de Gatineau-Hull, l’église Saint-Martin-de-Tours, qui daterait de 1868.

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Chapelle St-Theresa de la Petite Fleur

Bâtie en 1857, la chapelle catholique St-Theresa de la Petite Fleur était originalement appelée chapelle Saint-Siméon. C’est l’une des dernières constructions de la Compagnie de la Baie d’Hudson. Elle est érigée juste en face du poste de traite de la compagnie à Fort William (appelé poste des Allumettes jusqu’aux années 1850) qui fournit la région en articles divers et qui est fréquentée par les Algonquins à la fin de la période estivale.

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Maison Sifton-McClelland

La maison Sifton-McClelland date des années 1895 et elle fut construite par Sifton McClelland, fils de James McClelland, immigrant irlandais arrivé au Canada en 1840. Six générations de McClelland se sont succédé depuis sa construction et la maison est aujourd’hui la propriété de Bob McClelland, historien local, et de sa femme. La légende familiale veut qu’un rosier planté dans le jardin par la première génération soit toujours en vie.

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Église Saint-Antoine-de-Padoue

Construite en 1906, l’église Saint-Antoine-de-Padoue doit son architecture à Charles Brodeur, architecte hullois. Dominant le hameau de Perkins, l’église est visible de loin avec son clocher argenté et sa haute structure de briques. Elle a remplacé une première chapelle érigée en 1857.

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Église anglicane Saint-Stephen’s

Bâtie en 1900 sur une colline surplombant la rivière du Lièvre, l’église anglicane Saint-Stephen’s a remplacé une première église de bois érigée en 1852 en contrebas. Si des missionnaires itinérants se rendaient régulièrement dans la région dès 1825, les anglicans devront attendre 1850 pour avoir un ministre du culte anglican en résidence, le révérend Richard L. Stevenson.

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Chapelle Saint-Stephen Anglican

Construite le long du chemin Greermount et surplombant son cimetière, la chapelle St. Stephen a été construite grâce à l’argent récolté par le Révérend A. J. Greer au cours de ses tournées dans les camps de bûcherons. Commencée en 1883 et terminée en 1886, elle remplaçait une église plus ancienne en bois rond. Les paroissiens ont activement participé à son érection, transportant des pierres depuis le sommet d’une colline avoisinante jusque dans la vallée en voitures à cheval.

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Société d’histoire de l’Outaouais

La Société d’histoire de l’Outaouais diffuse l’histoire et  veille à la préservation et à la mise en valeur du patrimoine de l’Outaouais. Elle se veut une plaque tournante dans ce domaine en stimulant la recherche, la collaboration à des publications, en étant le lieu de rencontre entre amateurs et professionnels, en informant le public sur l’environnement patrimonial et historique tout en servant de lien entre les différents organismes publics œuvrant dans le même domaine, dont la Fédération Histoire Québec et la Table régionale du patrimoine religieux de l’Outaouais.

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Pont couvert du Ruisseau-Meech

La Vallée du Ruisseau-Meech fut colonisé par deux familles britanniques (Baldwin et Cross) au début du 19ème siècle. Dans les années 1970, le gouvernement exproprie les familles vivant sur ces terres agricoles pour y aménager un parc zoologique, projet qui n’aura jamais lieu. La plupart des maisons et granges furent démolies. Le joli pont couvert du Ruisseau-Meech, construit en 1932, est le seul témoin préservé de cette époque et est inventorié.

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Véloroute des draveurs

De Low à Messines, la Véloroute des Draveurs est une piste cyclable de 70 km de long qui serpente à travers des paysages pittoresques et longe marais, lacs, forêts et champs de cultures. Depuis la piste, on peut aussi faire quelques détours pour admirer des sites patrimoniaux : ponts couverts, cimetières, anciennes gares, etc. Cette piste cyclable emprunte un ancien tracé de chemin de fer aujourd’hui disparu et compte plusieurs haltes aménagées. La surface de la piste est en poussière de pierre compactée.

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Maison du bourgeois

La maison du bourgeois fait partie du site historique de l’ancien poste de traite du Lac-aux-Allumettes. Sur les berges du lac aux Allumettes s’installe un commerçant de fourrures vers 1823, face à un débarcadère naturel utilisé par les Premières Nations. MacDonnell, le commerçant, sera rapidement évincé par la Compagnie de la Baie d’Hudson (CBH) qui vient installer un nouveau poste juste à côté du sien.

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Chemin Ragged Chute

Le chemin Ragged Chute serpente à travers les collines de la municipalité de Bristol. Il tire son nom de rapides sur la rivière Quyon (à hauteur du chemin no 9 ou du rang no 9) qui ont été dynamités au XIXe siècle pour faciliter le passage des billes. Il passe devant différents bâtiments patrimoniaux et croise plusieurs chemins sur lesquels se trouvent aussi d’intéressants bâtiments ou cimetières, notamment sur les chemins no 6 et 8. Il offre également de beaux panoramas passé le chemin no 8, mais il n’est plus asphalté.

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Rue Notre-Dame

Le village de Montebello a souffert de l’incendie de 1913 qui a ravagé une grande partie de son centre, mais la rue Notre-Dame reste une rue pittoresque avec de nombreux bâtiments centenaires. On retrouve le cimetière de Notre-Dame-de-Bon-Secours à son extrémité ouest, puis de belles maisons anciennes et diverses constructions importantes dont le lieu historique national du Manoir-Papineau ainsi que l’ancienne gare ferroviaire déplacée.

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Sources

Les sources suivantes ont été consultées lors de la rédaction du contenu de ce site :    Monographies ALDRED, Diane. Aylmer, Québec: Its Heritage = Aylmer, Québec : son patrimoine, Aylmer, Aylmer Heritage Association = Association du patrimoine d’Aylmer, 1989, viii, 228 p. ALDRED, Diane. The Aylmer Road: An Illustrated History = Le chemin d’Aylmer : une histoire illustrée, Aylmer, Aylmer Heritage … Continuer la lecture de « Sources »

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Texte Accueil

Bienvenue aux amateurs et passionnés de patrimoine ! Ici, vous trouverez différentes façons d’explorer l’histoire de la vaste région de l’Outaouais selon vos intérêts, vos moyens de déplacement privilégiés et le temps dont vous disposez. Découvrez ce qui se cache derrière la façade de cette église que vous apercevez régulièrement, visitez un quartier de la vaste … Continuer la lecture de « Texte Accueil »

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Chemin d’Aylmer

Le chemin d’Aylmer est le plus ancien chemin de la région. En 1802, Philemon Wright entreprend d’aménager un chemin à proximité de la rivière des Outaouais pour contourner les chutes et les rapides qui empêchent les bateaux de remonter au-delà de Hull. Le chemin sera prolongé jusqu’à Aylmer trois ans plus tard.

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Gatineau

Patchwork de petits villages bien distincts à l’origine, Gatineau possède une histoire surtout liée à l’agriculture, ainsi qu’à la drave et à la transformation du bois. Si le village de Pointe-Gatineau situé à l’embouchure de la rivière Gatineau a longtemps réuni draveurs et cageux, celui de Gatineau Mills, dans les terres, rassemblait par centaines les familles ouvrières autour du moulin de la CIP. On peut parcourir aujourd’hui à pied ou à vélo deux sites patrimoniaux qui permettent d’admirer des maisons typiques de ces deux anciens villages.

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Collines-de-l’Outaouais

Au nord de Gatineau, les collines de l’Outaouais ont vu arriver les premiers colons anglophones dès les années 1830. Activités agricoles et exploitation forestière vont baisser en intensité au XXe siècle pour accueillir les premiers vacanciers et amateurs de plein air venus en train. La vocation touristique de la région ne s’atténuera pas avec la création du parc de la Gatineau dans les années 1930-1950. On peut aujourd’hui découvrir fermes et églises au détour d’un rang ou au bord d’un lac, ou encore marcher dans les pas des vacanciers du siècle précédent pour apprécier les établissements touristiques centenaires et les maisons bourgeoises dans une nature exceptionnelle.

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Églises et confessions

La diversité des pratiques religieuses apportées par les différentes communautés d’immigrants a fait de la région une mosaïque de lieux de cultes, du plus flamboyant au plus modeste, au centre du village ou au fond du bois. Presbytères et chapelles ne sont pas en reste et participent à la diversité du patrimoine religieux de l’Outaouais. Vous ne serez jamais très loin d’un édifice à admirer… Ne manquez pas non plus d’explorer les plus vieux cimetières de la région, car ils racontent l’histoire des premiers pionniers et bâtisseurs.

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